Alors que cela aurait pu être un simple restylage de mi-carrière, cette mise à jour de la troisième génération de Boxster qui nous est présentée aujourd’hui est certainement la plus grosse évolution qu’ait connu le modèle depuis sa sortie en 1996. En premier lieu, l’appellation change puisque les Boxster et Cayman seront désormais considérés comme les variantes cabriolet et coupé d’un même modèle, baptisé 718 en référence à la voiture de course 718 RSK Spyder des années 50. Ce nom devrait donc logiquement perdurer sur les futures évolutions du modèle. Bien que cela ne saute pas forcément aux yeux, ce nouveau Boxster a été entièrement redessiné et de nombreux détails diffèrent. Les plus visibles concernent les boucliers avant et arrière, avec notamment des optiques amincies et assombries. Si la silhouette conserve globalement la même harmonie, le Boxster perd un peu de caractère, notamment à cause d’une face avant qui paraît plus fade. Malgré tout, la révolution opérée par ce nouveau modèle se situe sous le capot arrière, avec désormais des quatre cylindres à plat 2.0 et 2.5 turbocompressés en lieu et place des anciens flat-six 2.7 et 3.4. Pour les puristes, le choc sera donc double, avec d’un côté la perte de deux cylindres et de l’autre l’arrivée de la suralimentation, comme ce fut le cas récemment sur la reine 911.
Brochure commerciale
« J’avais beau regarder autour de moi, je ne voyais pas la voiture de mes rêves : une petite voiture de sport légère, qui utiliserait efficacement la puissance de son moteur. J’ai donc décidé de la construire moi-même. » e « J’avais beau regarder autour de moi, je ne voyais pas la voiture de mes rêves : une petite voiture de sport légère, qui utiliserait efficacement la puissance de son moteur. J’ai donc décidé de la construire moi-même. » Ferry Porsche Pour devenir réalité, les grands rêves, comme les idées visionnaires, exigent de la persévérance. Et les victoires ne se gagnent pas toutes seules. Elles impliquent souvent une lutte, que ce soit contre des résistances, contre les conventions, ou contre l’immobilisme de la pensée ambiante. Sans passion, sans une part d’agressivité et sans ténacité, impossible d’arriver à ses fins. Pour la voiture de ses rêves, une petite sportive, Ferry Porsche a tout donné, et son rêve est devenu réalité non à force de doutes, d’attentes et de chance, mais bien parce que Ferry Porsche a su se dépasser.Chaque Porsche construite depuis 1948 porte en elle cet état d’esprit. Il se retrouve dans chacune de ses pièces, dans chacune de nos victoires. À dire vrai, dans chacune de nos idées. Nos ingénieurs n’étant en effet jamais satisfaits à 100 %, ils ne peuvent que lutter pour cette petite amélioration décisive qui leur manque encore. Ils se battent pour cette seconde qui décide de la victoire. Leur volonté fait honneur à l’ADN de la marque et ranime chaque fois un peu plus notre passion pour les voitures de sport. Ce qui intéresse Porsche n’est pas de développer plus de puissance, mais bien de développer plus d’idées – pour créer des moteurs non pas plus volumineux, mais plus efficients, pour inventer un design qui suive nos principes et non les modes… Pour construire des voitures de sport que tout un chacun puisse conduire au quotidien. C’est ce que nous appelons le principe Intelligent Performance, et il est au cœur de la marque Porsche et de son avenir.
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